Le début de la fin - Je ne sais pas vraiment comment trouver mes mots dans cette : "ttus, ne pas bêtement et éternellement se résigner à baisser la tête par convention, par impuissance à poser le pas en-dehors des lignes que l'on nous trace ... Le tout est de le vouloir, le tout est de comprendre qu'un jour on doit quitter le clavier pour apparaître au grand jour, assumer que les mots soient aussi des actes ... J'aimerais faire un geste pour elle, j'aimerais que d'autres le fassent avec moi et lui donnent corps .... Songe "

Ma très chère Jny,

L'autre jour, quand on s'est fâchées, j'ai regretté directement après, quand tu es partie. En plus tu avais dit de ne pas venir te parler si c'était pour te faire mal et moi, je suis quand même venu. Excuse-moi...

La vie est belle. Si, si, je t'assure. Elle est belle. Il faut juste rencontrer la bonne personne, celle qui saura éclairer ta route, celle qui éclairera ton coeur et te donnera une raison de vivre. Il arrive des moment où on ne croit plus en cet amour. Je sais, je passe par là moi aussi. Mais cette personne arrivera, tu verra. Tout le monde vit une histoire d'amour dans sa vie, j'en suis persuadée. Alors si tu dois quitter cette terre, pourquoi ne pas attendre que ton prince charmant arrive avant? Pourquoi partir sans avoir vécu l'amour? Même si la majorité de notre temps on pense en noir, l'intensité de l'amour même s'il est court, suffit à te redonner le gout à la vie. Une fois que tu as connu ça, tu pourras partir et mourir heureuse, pas avant. Tu raterais la plus belle chose dans cette vie, pas toujours facile.

Et d'ici là, tous tes amis, que ce soit du net ou de la réalité, on est là pour t'éclairer nous ici. Bien sûr, on arrive pas à t'éclairer autant que lui, lui ton future homme, mais on fait ce qu'on peut.

Aujourd'hui, j'ai décidé de te faire une surprise. Tu la verras en rentrant chez toi.

Immenses bisous plein de tendresse. Je pense fort à toi.

Jennifer

Je n'ai qu'une chose a dire a ce que je vien de lire...

c beau mais je  suis profondement degouter!!! J'ai vu un etre tomber devant mes yeux , j' ETAIS LA ,, et tous ce ke vous trouver tous a faire c de propager cet acte qui est GRAVE partout sur vos site!!! Pardon je ne mank de respect a personne mais la ca depasse mes sentimzents!!!

je n'en dirais aps plus par respect pour elles mais je suis contre tous ces joueb ki ne l'aide pas !!!!!!!!!

AUDREY

 

Je suis d'accord av Jmy ds un certain sens.

Tout ce que j'ai dire c'est que je souhaite un Jny un prompt rétablissement et de retrouver la paix intèrieur.

Et que les gens qui lui ont fait du mal se rendent bien compte jusqu'ou la méchancété peut-aller.

J'ai déjà écris à Jny sur son blog, mais je réitère.

Jny, tu as pris une décision grave concernant ta vie il y a quelque temps. C'était ton choix, et comme Songe je ne juge pas.

Par contre, je pense pas que l'on puisse te laisser faire - tenter de faire - ça sans rien dire, sans réagir. Quelque part, ça prouve que pour beaucoup, moi en tête de liste, on a pas su voir que tu n'étais vraiment pas bien.

Songe dit quelque chose de très vrai: parmi la multitude de blogs que nous lisons chaque jour, il y a une foule d'articles dont nous ressentons certes l'émotion, mais que nous découvrons comme on découvre un roman, sans penser que derrière il y a une VRAIE personne qui souffre. On est tous plus ou moins comme ça. Qui a toujours laissé un commentaire aux articles de jouebeurs qui n'allaient pas bien? Qui ne s'est jamais dit "de toutes façon, je le/la connais pas assez pour me mêler de sa vie"?

Et puis quand Jny en arrive à prendre la décision qu'elle a prise, ben on se sent tous un peu cons. Moi le premier.

Aujourd'hui, on a tous mal, très mal de ce qui est arrivé. Demain, certains auront oublié, d'autres non. Faites qu'on soit un maximum à se rappeler de nos erreurs.

Bises à toi Jny, remet toi très vite.

Yam

Je ne te connais pas et je ne vais pas prétendre savoir par quoi tu passes ; mais je vais te faire part de mon expérience.

La dernière fois où j'ai voulu mettre fin à ma vie, c'était en 1998. J'avais 20 ans.
Je venais d'échouer à la fac et j'allais devoir retourner chez mes parents lamentablement. Le dernier jour de cours, comme une automate, je me suis dirigée vers le pont le plus haut. Arrivée au bord, je me suis arrêtée. Ma tête était vide. Je ne pensais plus à rien, sauf à faire cesser la douleur qui me rongeait depuis des années.
Je n'ai pas sauté. Je n'ai pas su pourquoi à ce moment-là, mais bien plus tard.
J'ai compris que j'avais envie de vivre. J'avais trop de choses à vivre, à construire et à découvrir. Et surtout, je ne voulais que ce soit les autres et les événements qui décident de MA vie.
Il m'a fallu encore quelques années pour sortir de ma dépression, par la force de ma volonté.
J'étais perdue, lasse, sans objectif, sans soutien familial, amical ou amoureux.
J'ai rencontré quelques personnes-clé qui m'ont dit des mots forts, des mots justes, des mots sains.

Mais peu à peu j'ai défini mes priorités, ce qui me plaisait, ce que je voulais faire. Et je me suis donnée les moyens d'y arriver.
Et par ailleurs, j'ai travailler à me libérer des mauvaises expériences, du passé douloureux, des peurs, des angoisses, des carcans, des obligations, des conventions... pour enfin être libre.
Etre soi-même, être bien en étant soi-même, vivre pour soi-même.
Aujourd'hui, j'ai 25 ans et je peux dire que depuis deux ans je m'épanouis.
Je vis, je suis heureuse, je traverse les épreuves bon gré mal gré, mais je ne regrette pas d'être là.

Alors si tu veux une écoute ou un conseil, nous sommes là.

(Songe, je te laisse le choix de transmettre ou pas)

Au même titre que CC, je ne te connais pas, je ne sais pas ce que tu as vécu, mais j'ai au moins une chose à dire.

De la sincérité la plus profonde qui soit, je peux te dire que ce qui t'arrive me touche.
Pour certains d'entre nous tous, il arrive un jour où l'on va faire un bilan. Un bilan de ce qu'on a, de ce qu'on a plus, de ce qui est passé et de ce qui est à venir. Et pour l'avoir vécu, je comprend parfaitement qu'un matin en se levant, un soir seul, on se dise que ce qu'il pourrait y avoir plus tard, ce qui pourrait arriver ne nous interresse pas, qu'on a plus la force.
Et puis un beau jour, on perd quelqu'un, un proche, un ami, son meilleur ami. On met du temps à comprendre pourquoi, pourquoi il n'a pas eu le droit de continuer cette vie, lui qui n'a pas eu le choix. Et enfin on fini par savoir que la question n'est pas de comprendre.
Aujourd'hui je ne me pose plus la question de savoir si j'ai la force ou pas. AUjourd'hui je sais qu'il ya des hauts et des bas, et aujourd'hui je me bat pour vivre et faire vivre à ceux qui sont autour de moi toutes les choses que la vie nous offre et que cet ami perdu n'a pas eu le temps de connaitre... Aujourd'hui, dans chaque voyages, dans chaque couchés de soleil à l'autre bout du monde, dans chaque roses d'un jardin, dans chaque sourires croisés, dans chaque pleurs de bonheur, dans chaque cadeau offert, dans chaque baiser echangé dans chaque sourire au réveil le matin, je fais en sorte qu'il soit là, je fais en sorte de vivre pour deux ce qu'il n'a pas gouté.
Alors ne passe pas à coté de tout cela. Sache que le bonheur n'est pas un but à atteindre, ce n'est pas un état parfait dans lequel on débarque un beau jour.

Le Bonheur c'est ponctuel; le bonheur, c'est une fraction de seconde répétée à l'infini qui fait que chaque jour peut être un jour heureux. Le bonheur se construit au jour le jour, c'est long et fastidieux, mais ça arrive, quoi que tu puisse en penser, beaucoup de gens, beaucoup de vies seront là avec toi pour te dire que c'est possible.

Relève toi.

 

Il y a des fois où... où on a envie de tout laisser tomber. Alors on prend des cachets, hop on les avale. Des fois, on veut vraiment mourir, des fois, c'est un appel au secours parce qu'on se sent tellement seul, tellement victime de l'abandon général. On fait ce geste, on fait souffrir les gens qu'on aime, pas parce qu'on ne les aime plus, mais pour leur montrer qu'on souffre aussi.
Douleur des douleurs... On peut accorder de la valeur à la vie des autres et pas à la sienne propre.

La mer est déchainée... Je t'envoie ma réponse par mail.

Je suis rentrée... Je vais publier, j'ai bcp de choz a dire... merci pr cet article, pr cette attention, pr avoir voulu m'envoyer des fleurs (j'ai lu le blog de leana).. je vais poster ce sera plus simple.. dslée je n'ai pas la force d'aller sur msn pr l'instant.
Plein de gros gros bizou a toi!

JE T'ADORE

PS: merci pr ton sms, dslée je n'ai pu y répondre.

jny,je ne te connait pas non plus, comme certaines personnes, qui on laisser un mot ici.

Malgré tout,je veux te dire, que la vie, même si elle est dure, est avant tout un cadeau.

 un cadeau qu'il faut savoir gérer, qu'il faut savoir aimé, auquel il faut faire passer des sentiments, sans lesquels,la vie n'est rien.

certaines personnes on dit,:

"lorsqu'on tombe, le meilleur à faire n'est pas de manger la poussiere jusqu'a ce que mort s'en suive, mais de ce relever, et d'éviter les mêmes obstacles qui viennent de nous faire tomber...

une fois que l'on connait le probleme, on peut mieux l'afronter, jusqu'a le détruire.

C'est ça la vie, la vie est là pour nous aprendre, nous forgée et nous construire, jusqu'au bonheur.Et meme si le bonheur ce fait attendre, il n'est que meilleur lorsqu'il arrive...

Chaque être humain connait un jours le bonheur.

Même si celui ci, est la mort elle même, mais alors il faut l'attendre pour le savoir, attendre la mort,et si jusqu' a elle on ne peut pas dire "j'ai connus le bonheur de la vie",alors, c'est que notre chemin s'arrete ici, mais c'est la vie ,elle même qui a décidée que ton chemin devait s'arreter ici, et que c'est à cet instant que le bonheur te caresse.

Ce n'est pas à toi de décider .C'est à la vie, à ta vie, et ci tu l'as suprime, comment pourra t'elle décider, et comment le bonheur pourra t'il te prendre dans ses bras de velour?

Je ne pense pas avoir connu la joie du bonheur, non, pas encore, et c'est pour ça que je tiens à la vie, je la soigne, la dorlote, même lorsqu'elle me fait mal ,je me retiend de lui rendre son coup,car je sias que mon bonheur dépend d'elle

alors vit, vis pour toi, et pour ceux qui t'aime et qui t'apprecie, comme moi, qui t'appreci car, je sais qu'au fond de toi, comme moi, tu l'aimes TA VIE

je suis avec toi

mari

mediaTIC - actualite du blog et des blogs : "Le problème, c'est qu'on ne sait pas si c'est vrai ou pas et que ça peut être dangereux de faire des suppositions là-dessus. L'histoire est contée là par Songe avec des mots forts ; extrait :"(...) Voici donc où je voulais en venir : Jny a aujourd'hui tenté d'attenter à sa vie ... je ne juge pas l'acte, je ne juge pas ses causes, je ne considère que l'acte en lui-même qui m'attriste au su de la valeur que je donne à la vie, à ce qu'elle peut être (...)."Ce jour, "